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Ville de Bollène - Patrimoine - Samedi 19 Septembre 2015
Ô patrimoine, quand tu nous tiens !  
Un dédale édifiant qu’on ne sait par quel bout prendre… Courage ! 
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Monseigneur Bobière fait l’éloge de la cathédrale contemporaine d’Evry (à droite)
   


Je ne vous la présente plus... Elle règne sur la Ville ! 

Le monde des enluminures, vendredi soir, nous a ravis. Par où continuer, ce samedi ? La Ville n’en ferait-elle pas trop ? Pas de doute : elle affectionne son patrimoine. Nous aussi. Mais fions-nous au vieil adage : qui trop embrasse, mal étreint. Un courtois feeling suffit. Laissons de côté la chapelle de l’hôpital et son retable en bois doré, que nous avons déjà tant vu, et passons outre l’église de Saint-Pierre, où, la semaine dernière, nous découvrions déjà un chemin de croix rénové.

En revanche, à Saint-Blaise, une sacrée grimpette à pied nous a menés au sommet du piton de Bauzon, et donc à la chapelle du même nom. Ce pieux vestige (XIIe siècle) n’en finit plus d’être restauré. C’est loin d’être fini. Une association de sauvegarde pousse à la roue. Un détachement du conservatoire a gratifié les visiteurs d’un superbe concert retraçant un millénaire de musique provençale. Vivaldi, Telemann et Claude-Henri Joubert (pour une facétie savoureuse) figuraient aussi au programme.

    

Retour en centre ville à Notre-Dame-du-Pont, où la moitié des vitraux est bousillée à cause d’un chauffage inadapté ! Mais on y causait d’autre chose. Monseigneur Bobière, chef vicaire du diocèse d’Evry (et ami de Jean de Guilhermier), a fait l’éloge de la cathédrale de la Résurrection d’Evry, un modèle d’architecture contemporaine.

L’espace Ripert restait dédié à Barry Aeria qui, dans l’attente d’une réelle réouverture du site troglodytique (fermé par sécurité), inventorie sans relâche les spécificités, historiques et autres, du massif de Barry. 

La Maison Florence Forns (ou de la culture provençale) fait toujours coup double. Au rez-de-chaussée, Li Cardelina se distingue toujours par de remarquables expositions et nous plonge, cette année, dans l’intimité des aïeux, au temps des pots de chambre, clystères et chemises de nuit fendues sur le devant… A l’étage, Parlaren fait une fixation sur l’entomologiste Jean-Henri Fabre, sur lequel on a déjà tout dit !

Reste la collégiale Saint-Martin et ses conférences audiovisuelles, et, surtout, un concert (Pergolèse, J. S. Bach) proposé pour le lendemain par les Floraisons musicales. A suivre…  


Barry Aeria inventorie toujours le massif de Barry

   
La chapelle de Bauzon coiffe le piton du même nom... Une ascension qui se mérite !
   
   
Les Conte, père et fils, en concert à la chapelle de Bauzon.  
(J'avais filmé le concert... Une fausse manip a tout effacé... Je suis très malheureux !)
   

Un quatuor du Conservatoire a joué Vivaldi, Telemann et Claude-Henri Joubert
   
L’intimité des aïeux est exposée chez Li Cardelina
   

Chemise de nuit de jadis... fendue devant !

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