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Une mobilisation payante
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Pour l’heure, l’apaisement
prévaut, selon ce constat : « Des problèmes demeurent à
l’usine de Mondragon qui, cependant, génère beaucoup moins de nuisances que
celles de Burie (Picardie) ou de Bardos (Sud-Ouest). La SDEI a revu son projet.
D’où un surcoût de 30%. Ces avancées sont dues à la participation massive de la
population, à l’enquête d’utilité publique et à l’action des associations de
Mondragon, de Bollène-la-Croisière et de la fédération. »
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Le ton monte, en revanche, quant à
l’autoroute A7 et ses nuisances sonores. Excédés, des riverains protestent en
vain. Car rien ne bouge. D’où un nouveau courrier adressé aux ASF (Autoroutes du
Sud de la France).
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Par ailleurs, l’on se heurte au blocage des dossiers liés au TGV. D’autres problèmes sont évoqués, notamment au quartier du Pas d’Arles,
traversé à trop grande vitesse pas des chauffards.
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L’association compte à ce jour 23
adhérents et une modeste trésorerie n’accusant qu’un solde positif de 90,06 €.
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