Exposition à l'Office de tourisme de Bollène

Le fascinant grimoire
de Yasmine Chettouh

Vernissage du Vendredi 1er février 2008

Exposition visible jusqu’au 4 mars 2008

p Les arcanes de l'art titillent l'imaginaire...

Vidéo 2' 26"

p Françoise Cuillerai, présidente de l'O.T.,
et Yasmine Chettouh

 

Liens :    Salon Noël Bollène         Salon Noël Mondragon         Salon du Drac        

 

  • Déjà sélectionnée à Bollène pour le dernier Salon de Noël, Yasmine Chettouh échoit tout naturellement aujourd’hui sur les cimaises de l’Office de tourisme.
     
  • Du haut de ses 25 ans, la jeune artiste mondragonnaise en impose par son aplomb, étayé par une licence de philo et un master en ergologie, via la faculté d’Aix-en-Provence, qui structurent sa démarche artistique, sans pour autant en déchiffrer les arcanes.

p Le maire de Bollène, l'adjointe à la culture
et la présidente de l'O. T. accueillent l'exposante.

 
 

p D'étranges arabesques teintées d'orientalisme ou bien un labyrinthe cosmique... Allez savoir !

 
  • « Depuis quatre ans, je poursuis inlassablement mes recherches autour d’un graphisme particulier qui ornait déjà les marges de mes cahiers de cours, sans savoir encore d’où cela vient », avoue Yasmine. Voir vidéo
     
  • Ces entrelacs aux courbes multicolores exercent une fascination certaine. Une touche d’orientalisme les lie peut-être à de lointaines cultures. Lesquelles ?
     
  • Si beau soit-il, seul un cul-de-sac ornemental tiendrait lieu de réponse, en cas de statu quo. Or, deux anecdotes ouvrent une voie.

 

  • Cela se passe sur une plage au Mexique. Yasmine explique : « Il fait chaud, le sable me brûle les pieds, pour un peu de fraîcheur, je marche en décrivant des courbes sur le sol. » Le résultat est stupéfiant : une œuvre à ciel ouvert qui longe la mer.
     
  • Yasmine poursuit : « Plus loin, un homme est allongé, il se relève, le dos couvert de sable où j’imprime de ma main de mêmes arabesques. »

p Un support vivant inattendu !

 

p Une plage mexicaine fait aussi bien l'affaire...

 

  • Ces variantes éphémères sont fixées grâce à des photographies. Est-ce une option figurative ?
     

  •  « Non ! » réfute l’artiste, seulement en quête de nouveaux supports. Autre cas de légitime indépendance : aucun titre. Pourquoi ?
     

  • « Parce que je ne veux pas enfermer le tableau en une seule signification ni gêner celle qu’entrevoient les autres. »

 

p Ghislaine Bagot, prof d'arts plastiques au collège Eluard, honore l'exposition de son ex-élève. Des collégiens l'accompagnent.

 

p Des Mondragonnais se joignent aux Bollénois. Ce vernissage fera date.

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