L'atelier de
Roland Riché

Baby-boom, papa-cool
et néoclassicisme
 
Lundi 3 décembre 2007

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• J'ai à peu près déjà tout dit sur deux pages parallèles et Roland n'est pas avare d'explications dans la vidéo ci-jointe.
   
• Je m'en tiens donc ici à l'étiquette Renaissance métissée de néoréalisme.
   
• Une option savante que l'artiste désenfle lui-même par cette boutade :
  • " J'avais 18 ans à l'époque du baby-boom. Je peignais du papa-cool qui aboutit à du baroque Mai 68."

p Reprise d'un tableau resté en panne durant
 quelques années. Thème de prédilection : la femme.

p Du papier marouflé, du bois et autres collages divers
font partie d'une technique mixte et ajoutent à l'impact pictural.

p Ça s'appelle "Brainstorming". Soit l'idée lumineuse tant attendue qui transperce
 soudainement le cerveau. Un assemblage savamment hétéroclite, exposé à Paris et Toronto.

p Ça découle du "papa-cool" tout de même assez engagé (années 70)
La troisième oeuvre (à droite) se nomme "New York - Bombe dans la 13ème rue".

• Ce personnage androgyne est d'une drôlerie relative.
   
• Il a cependant contribué à l'accès au professorat pour Roland Riché.
   
• Depuis, le prof d'arts plastiques (comme l'artiste) et sa verve baroquisante égaient heureusement le propos.
   
• Ceci pour le bonheur des élèves du collège Barbara-Hendrix à Orange où professe actuellement Roland Riché.
   
• Rappelons par ailleurs que la Fête médiévale du Drac, à Mondragon, doit beaucoup à Roland : décors, accessoires, dragon vert, dragon-licorne, scénario, mise en scène... (1996-2003)