Une commémoration
scrupuleuse marque le 66ème anniversaire de la victoire contre le
nazisme, en présence d’anciens combattants, de sapeurs-pompiers, de la
population (un peu chiche) et des élus.
Christian Peyron, maire,
rappelle l’inauguration
d’une plaque, effectuée l’an dernier, nommant une rue du village du nom de
Marin Ramière, déporté à Buchenwald. Sa fille Francine est présente à
la cérémonie.
Le discours
est suivi de l’audition de « Nuit et
brouillard » par Jean Ferrat, du chant des partisans, puis de l’hymne
national. Ce triptyque musical, suivi d'une minute de silence, trompe
l'impatience devant une stèle non fleurie... Les gerbes n'ont pas été
livrées !
Le pot de l’amitié, offert au foyer de l’âge d’or, a
ensuite rallié
l’assistance vers des horizons paisibles.