A juste tire, quelqu'un m'a
dit : "Tu ne racontes plus grand chose sur ton site." C'est
vrai. Outre l'inertie associative due à l'actuelle pandémie, ce
constat porte plutôt sur mes états d'âme
(série Monologues). Je
doute de leur pertinence auprès des surfeurs du Net (à part
quelques rares fans). Alors j'ai mis un bémol, au profit d'une
actu locale, elle-même assez réduite. Submergée par le colza, ma
dernière balade à vélo rompt le silence. J'ai croisé une
promeneuse, accompagnée d'un brave toutou. L'échange de quelques
mots sur tant de jaune éclatant me redonne ici le goût de
l'échange. Voici donc, en cette veille de Pâques, une once de
félicité printanière. J. P.