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Le gibier souffre de l’urbanisation et de certaines techniques agricoles. Le repeuplement peut limiter les dégâts. La Saint-Hubert mondragonnaise réimplante donc durablement une espèce autochtone qui, malgré la période de chasse écourtée, se raréfie : le perdreau rouge. Dans une zone réservée, sur un terrain aimablement mis à disposition par un agriculteur, l’aménagement d’une volière permet actuellement l’élevage de 150 poussins, placés sous surveillance et à l’abri des prédateurs. Régulièrement mis en liberté, des perdreaux s’acclimatent.

D’autre part, durant la saison, deux nouveaux abreuvoirs ont été aménagés. En tout, dix installations de ce type pallient les risques de sécheresse.

Faute d’inscriptions suffisantes, le safari prévu à l’Ile-Vieille en cette mi-décembre est annulé. Deux lâchers de 60 faisans sont envisagés. La fermeture de la chasse est prévue pour le 13 janvier. Resteront autorisés jusqu’au 20 février le tir de la grive au poste et le tir de la bécasse au chien d’arrêt. Sont aussi prévues jusqu’à fin février les battues aux renards et aux sangliers

• Un rendez-vous, dimanche 23 décembre à 15 heures à la salle des fêtes : loto de la Saint-Hubert.

                 Une volière aménagée pour 150 poussins                                  Serge Azaïs, président de la Saint-Hubert