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Ville de Bollène - Festival d'été - Vendredi 12 Août 2016
Claude Barzotti a préservé sa flamme d’antan   
En première partie, le retour des Latinos Lovers a fait mouche

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Vidéos1. Latinos Lovers  (3'00")     2. Claude Barzotti (7' 40")

Laurent Comtat                                                                        Les Latinos Lovers 
          

Une égérie accompagne le troubadour

Aux dires de l’organisation, cette 13ème soirée des Polymusicales serait celle qui a déplacé le plus de monde. Ce vendredi soir, au vu du magma humain, agglutiné sur la place, nous accréditons cette affirmation, renforcée par une météo idéale. Le vent avait enfin disparu et, encouragés par le fidèle animateur Laurent Comtat, les festivaliers ont d’abord été livrés aux rythmes hispanisants des non moins habitués Latinos Lovers, chargés d’assurer la première partie du spectacle.

Les frères Tito et Samuel (déjà présents en 2012, 2014 et 2015) ont donc énergiquement trompé l’impatience des fans, essentiellement venus pour voir leur idole italo-belge, née en Belgique mais élevée en Sicile jusqu’à l’adolescence, dite « Le rital », du nom de la chanson qui l’a hissée au sommet du hit-parade en 1983.

La voix rauque et haut perchée, Claude Barzotti se joue toujours de ces handicaps qui font tout son charme. Un pianiste et une voix féminine escortent aujourd’hui le parcours un tantinet désenchanté du trouvère qui, une vague nostalgique aidant, a vu sa carrière rebondir dans les années 2000. Son passage à Bollène tend à contredire le creux de la vague.

De « Madame », son tout premier tube, au « Temps qui passe », album sorti en 2015, il a égrainé de nombreux succès, tels que « Je ne t’écrirai plus » ou « Papa », que lui a demandé de chanter un public particulièrement branché. En quête d’émotions passées, les aînés revivent ainsi leur jeunesse et mettent à contribution l’artiste dont l’art est de contredire l’adage : on ne peut être et avoir été. Claude Barzotti excelle cependant dans cet exercice.    J. P.


Le Rital a fait un  tabac à Bollène

         

 
L’enthousiasme du public fait plaisir à voir. 
    


Il a comblé ses fans en jouant la carte nostalgique.  
    

              
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