A l’occasion de la fête nationale, la section locale
PCF de Bollène-Valréas ne manque jamais sa prise de parole, suivie du
pot de l’amitié.
C’est l’affaire d’Annie André, militante aguerrie.
Entourée de fidèles sympathisants, devant la Maison des communistes,
elle a, entre autres, rappelé ce 14 juillet où le peuple s’est libéré
du joug de la monarchie.
Elle s’est interrogée sur cette République fantôme qui,
232 ans après, ne vote plus, n’est plus qu’indifférence, et non
colère, signe de révolution porteuse d’espérance.
J. P.