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Commémoration Le PS a rendu hommage à Jean-Pierre Genton 
Son seul souvenir dictait encore des choix. La section
 locale du Parti socialiste porte désormais son nom
Mercredi 6 octobre 2010
   

  • Disparu voici tout juste dix ans, Jean-Pierre Genton laisse un souvenir vivace dans les esprits. Sa carrière d’enseignant débute à Mérindols, puis se poursuit à Althen-les-Paluds, Bollène-Ecluse et Saint-Pierre où il est nommé directeur de l’école primaire et prend sa retraite en 1991. Deux ans auparavant, en 1989, ses convictions politiques l’amènent à succéder à Georges Sabatier en tant que maire. Il est réélu en 1995.  
     

  • En presque deux mandats, il a profondément marqué la ville. D’où cet hommage que lui a rendu mercredi soir la section du PS de Bollène, qui portera désormais son nom, ce qui a justifié le dévoilement d’une plaque, en présence de Marie, sa veuve, et d’innombrables amis. Sont notamment excusés Elisabeth Guigou et le maire de L’Alcudia (Espagne), jumelée avec Bollène. Voici quelques témoignages de membres du PS qui s’expriment au nom de tous, unis par une même émotion.  
      

  • Jean Gatel « évoque le couple idéal en politique alors formé par Jean-Pierre et Marie, le combat coude à coude au-delà des divergences, les campagnes optimistes, la volonté de changer le monde, puis l’entrée en résistance après la défaite, la nécessité de sauver pacte républicain. »  

 

Jean-Pierre Genton (1935-2000), maire de Bollène de 1989 à 2000

  
  • Marc Serein (maire succédant au pied levé à Jean-Pierre Genton en 2000), au bord des larmes, « évoque son prédécesseur dont les débats et colères ont laissé des traces indélébiles et lui ont dicté ses choix. »  
      

  • Jean-Pierre Lambertin « remonte à 1968, puis à son adhésion au PS en 1974 pour évoquer l’inséparable compagnon de combat dont les visions justes tracent encore aujourd’hui le chemin. »  
      

  • Claude Haut, président du Conseil général, « rappelle les relations particulières qui, à l’époque, en tant que maire de Vaison-la-Romaine, submergée par l’Ouvèze en 1992, l’ont ensuite rapproché du maire de Bollène, inondée par la crue centennale du Lez en 1993. »  
     

  • Anthony Zilio, jeune et fougueux secrétaire, « regrette de n’avoir pas connu cet humaniste dont il se fait cependant une idée juste au travers d’archives éloquentes. » Celles-ci lui sont fournies par Marie Genton « qui évoque encore un homme de grande culture qui a tant fait pour sa ville. »  
     

  • Par le biais du journal La Provence, témoin des (presque) deux mandats de Jean-Pierre Genton, Mondragon-plus.com adhère pleinement à ce panégyrique.

De gauche à droite : Marc Serein, Jean Gatel, Marie-Annick Favier, 
Anthony Zilio, Marie Genton, Claude Haut, Jean-Pierre Lambertin.

   
Ils sont tous là, unanimes, autour d'un cordial buffet. Marie Genton-Pons vivifie le souvenir de Jean-Pierre. 

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