Au travers du discours du maire Anthony Zilio, à Bollène, la journée nationale d'hommage aux morts pour la France en Indochine "a ravivé le souvenir oublié de la chute du camp retranché de Diên Biên Phu le 7 mai 1954, qui se solde avec 24 000 victimes reposant dans le Mémorial de Fréjus". Parmi les représentants d'associations patriotiques, Marcel Mathieu, président du comité local du Souvenir Français, rappelle aussi la mort du 2ème classe Henri-Lucien Aubert, domicilié à Bollène, mort le 28 juillet 1947 à My Thuan, près de Cantho en Cochinchine. Un dépôt de gerbes, deux chants patriotiques et l'hymne national ont ponctué la cérémonie.   J. P

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