Difficile
de contenir dans l’heure l’audition de plus d’une vingtaine d’élèves.
Les classes de flûte et de piano ont donc un peu débordé du cadre
habituel pour un concert varié, par des exécutants de tous âges et de
différents niveaux.
Le
panachage en passait par diverses formations : duo, trio, quatuor,
etc. Avec accompagnement pianistique éventuel. Pétri d’indulgence,
l’on se fond parmi le public familial tout aussi attentif.
Scrupuleusement extraits de leurs partitions, on reconnaît une berceuse
de Brahms, une danse de Mozart, un allegro de Vivaldi, La truite de
Schubert, Czardas de Monti, une valse de Chostakovitch, Ave Maria de
Gounod, erc.
Deux
airs d’Amérique latine rompaient ce répertoire classique, conclu par
une transcription pour flûte inattendue des Gnossiennes de Satie. Quel
éclectisme !