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Ville
de Bollène
Le Conservatoire au beau fixe a ravi son fidèle auditoire   Samedi
25 Mai 2013

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L'accueil de Madame le maire, Claude Raoux (adjoint) et Patrice Conte (directeur)                       Le Coffre médiéval tient la buvette
    

Des familles entières assistent au concert annuel des orchestres, excentré à la salle Brassens. C’est un des événements chics de la saison, que ne boudent pas non plus les mélomanes. Ici, convergent des exercices que nous suivons durant l’année à l’auditorium.

C’est une soirée chaleureuse à tous points de vue. La Ville est fière de montrer l’excellence de son Conservatoire de musique, comme le rappelle Claude Raoux, adjoint : « Bollène a la chance de posséder deux orchestres, à cordes et d’harmonie. » Marie-Claude Bompard, maire, entérine l’éloge « en réaffirmant son soutien afin d’absorber la liste d’attente des inscriptions. » Limitée à 300 élèves, la capacité d’accueil serait donc appelée à croître.

Or, faute de relève, l’APE (Association de parents d’élèves) est en sommeil. Le Coffre Médiéval prend heureusement le relais et, à l’entracte, pourvoit à la buvette. Un appel est tout de même lancé pour le réveil de l’APE, indispensable notamment pour la location des instruments.

Le concert engage une soixantaine d’exécutants, répartis en deux formations distinctes : cordes et cuivres, avec d’éventuels appoints instrumentaux (flûte et autres) selon les partitions.

Qu’ont-ils joué ? Yvon Durnez et son orchestre à pas variables (cordes et chambre) ont particulièrement gâté l’auditoire avec Strauss (Pizzicato polka), Mozart (Petite musique de nuit), Haydn (symphonie Le Matin), Grieg (Peer Gynt) et Brahms (danse hongroise). Du grand classique !

En seconde partie, Valentin Conte a empoigné ses cuivres, puis l’orchestre symphonique, pour une balade chaloupante, où, en réalité, tout défile au carré ! Car personne ne se dandine en dehors des clous. C’est merveille de swinguer de la sorte chez Debussy (Cake walk), Serge Lancen (Matin d’automne) ou sur des musiques de films (Chantons sous la pluie, pot pourri lié à Charlie Chaplin). 

Au final, Kermen (Klezmoresque) et Offenbach (Orphée, French cancan) ont soulevé l’enthousiasme.  


Valentin Conte dirige l'ensemble harmonique

   


Yvon Durnez dirige l’orchestre de chambre. 
  


Au choeur des chambristes
   


Au choeur de l'harmonie
  


Face à face final entre musiciens et public... La joie !
   

Claudius (au centre) et Gisèle sont bien là...(pas Cunégonde d'Aboléna !)

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