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L'intérêt
général pose d’ores et déjà les jalons d’un second
volet. |
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« Pyromène »
inventé par Gaston Bachelard |
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Un
nouveau tournant, chez l’artiste, associera donc
gravures et matières. Une œuvre hiéroglyphique couvre
notamment des ocres du Lubéron. Aujourd’hui, l’évolution
en passe par le feu. Divers supports, dont les trente
circonférences exposées ici, ont été soumis au hasard
des flammes, « pour un résultat jubilatoire mais
aussi aléatoire qui rend humble », admet le
peintre.
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Un
document vidéo, dû aux Bollénois Denis Blanc, ajoute à
notre découverte : Michel Causse au travail dans son
atelier et s’exerçant à « brûler » divers
supports (bois, métal ou autres), jusqu’au point
critique, susceptible d’aboutir à des stigmates évocateurs.
Intitulé « Pyromène », ce reportage doit son
titre au philosophe français Gaston Bachelard
(1884-1962), psychanalyste du feu, qui inventa ce mot pour
désigner les phénomènes liés aux flammes.
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Cette
soirée s’est prolongée autour d’un cordial buffet,
puis avec la projection du film « Les moissons du
ciel » de Terrence Malick, autre drame lié au
feu, autour d’un ouvrier embauché dans une fonderie du
Texas.
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Dans l’attente du
second volet, avec un autre artiste contemporain,
il est toujours possible d’aller visiter l’atelier
de Michel Causse,
qui vous accueillera sur rendez-vous. Contact :
04.90.30.11.93. |
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