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Communauté de communes Rhône-Lez-Provence - Jeudi 8 Novembre 2018
L’Interco a entamé ses rendez-vous citoyens à Saint-Blaise
Une rencontre cordiale, première d’une série à travers la Ville

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Très en verve, ce jeudi soir à Saint-Blaise (au restaurant de l’école Joseph Duffaud), Anthony Zilio, président de l’Interco, a entamé une série de rendez-vous citoyens, destinée à répondre aux doléances des populations. En préambule, ont été rappelés les compétences de la Communauté de communes Rhône-Lez-Provence (CCRLP) et les projets réalisés sur les cinq communes concernées. Au vu de ce rappel judicieux, les Saint-Blaisiens ont été loquaces et donc entendus.

Les riverains du Lez dénombrent divers problèmes : berges encombrées, arbres morts, végétation envahissante, passages intempestifs de pêcheurs en 4 x 4, etc. Comme l’a confirmé un responsable du Syndicat du Lez, un projet de protection est à l’étude, tributaire d’une enquête publique. Une entente est souhaitée avec la Ville.

La discussion a beaucoup porté sur le traitement des ordures ménagères, la recherche d’ambassadeurs du tri sélectif, l’éducation du public. L’amélioration passerait par une déchetterie nouvelle, envisagée entre Bollène-la-Croisière et Mondragon. Un must dans le genre, complémentaire des déchetteries existantes à Bollène et Mondragon (nullement vouées à disparaître comme le prétendent les rumeurs).


Une réponse aux doléances des populations

    

Il a aussi été question des eaux de pluies et boues souillant certaines demeures, d’une amélioration possible des liaisons Internet grâce au déploiement de la fibre optique, du manque de locaux appropriés pour les séminaires regroupant des chefs d’entreprises, que pourrait pallier la transformation de l’ancienne école de Lamotte-du-Rhône en hôtel d’entreprises.

Et que faire de l’usine Vallabrègue, qui ne tourne plus qu’au ralenti, mais appartient au patrimoine spécifique de Saint-Blaise : l’histoire de la brique réfractaire et du fameux gisement d’argile de Noyères ? Un projet grandiose, sous forme de musée, hante le crâne d’Anthony Zilio qui, faute d’un partenariat fortuné, n’est suivi pour l’heure que par les Saint-blaisiens nostalgiques.    J. P.


Pourquoi avoir commencé par Saint-Blaise ?
Parce qu'il affectionne ce quartier. 



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