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Ville de Mondragon - Vendredi 1er Janvier 
Bonne année 2021 !

   


Meszigues

Salut à vous tous !

J'ai ôté mon masque (antipandémique) pour vous accueillir, vous aussi, (temporairement) démasqués, juste pour partager d'assez tendres effluves sentimentales à l'occasion de l'an neuf. Combien de temps durera encore cette mascarade sanitaire ? Sans doute est-elle utile. Puisse-t-elle toutefois vite disparaître durant ce nouveau millésime ! 

Bonne année 2021 quand même, donc, malgré ce ralentissement généralisé qui n'épargne personne... D'où le peu de nouveautés, ces derniers temps, sur mondragon-plus.com. Ce n'est pas la seule raison. J'ai actuellement quelques difficultés informatiques. 

Autrement dit, y a le bezengogne qui s'essouffle et la grenouille qui s'embourbe dans le marigot. Traduction : ce site web (créé en 2006) entre dans sa 16ème année d'existence et accumule des milliers de composants (pages, textes, photos, vidéos). Une galaxie devenue ingérable ! Je l'ai déjà scindée en deux parties : site archives (2006-2010) et site actif (2011-2020). Aujourd'hui (1er Janvier 2021), afin de m'extraire d'une lourde décennie, d'un pas allégé, je repars à zéro (comme Piaf) et entame un 3ème volet (sans rien regretter comme Piaf aussi). 

Ça ne change rien pour vous. Les archives seront toujours consultables. Et vous irez de l'avant au gré des fameux liens hypertextes. Vous glisserez sans vous en apercevoir d'un site à l'autre. Pour Meszigues, c'est beaucoup moins simple ! Mon hébergeur informatique (Ionos 1&1) m'aménage actuellement de nouveaux réseaux sur la toile. Quel labyrinthe !

Tout devrait être bientôt réglé. Nous basculerions alors sur mondragon-plus-2.com... avec un total de presque 683 000 vues au compteur ! Par ailleurs, afin d'élargir l'audience, j'ai fini par succomber à l'attrait (controversé) de Facebook... Effectivement, c'est un outil puissant. Mais quel fourre-tout !

                                                                                                                                                                                    Affectueusement,  J. P.

   

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