Une décennie
nous sépare déjà du départ d’Emmanuel De-Brito, emporté par la
maladie à l’âge de 46 ans en 2002, comme nous le rappelle sa veuve Béatrice,
coiffeuse, dans sa boutique Etre belle : « On l’appelait
Manu, et même La Sardine, car c’était un authentique Portugais
venant du pays où la sardine est reine. Il était très populaire et
rendait d’innombrables services à tous. Il était soudeur de métier,
mais savait aussi dépanner pour les travaux de mécanique ou de maçonnerie. »
Ce
portrait corrobore le souvenir vivace qu’en garde le journal « La
Provence ». Il était aussi apprécié dans les milieux
associatifs parmi les concours de boules ou de cartes, souvent terminés
par de cordiales agapes. Manu dit La Sardine, c’était un condensé de
gentillesse très agréable à fréquenter.
Tous ceux
qui s’en souviennent sont conviés par Béatrice et sa famille à une
messe du 10ème anniversaire de sa disparition, qui sera célébrée
par le père André Wasilewski ce dimanche 29 avril à 11 heures en l’église
paroissiale Sainte-Trophime (rue Jean Jaurès).