J'ai trois ou quatre longueurs de
retard. Mes rushes vidéo ont eu le temps de macérer dans le bouillon
d'incertitude. Le film est enfin monté, un mois après la fête
de la musique.
Je manque de temps. C'est vrai.
Mais comment appréhender tant d'infinie pureté ?
Je ne parle pas seulement du chant,
au demeurant sublime. Mais d'un homme de foi, aux convictions profondes.
Une voix céleste, un geste élégant l'élèvent au-dessus de la
mêlée qu'il entend bien, cependant, ramener à Dieu.
Vaste propos qui hissait la fête
de la musique sur la ligne de crête sans pour autant ameuter la
foule... Voici toujours (presque) 10 minutes de prêche et de chant,
captées à la volée. Combien serez-vous à les lire jusqu'au bout ?